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Dessins et plans, Lumière, Lumière -- Propagation, Lumière, Théorie ondulatoire de la, Interférence (optique), Thomas Young (1773 – 1829)
Dessin de Thomas Young (1773è1829), savant anglais, montrant le phénomène de diffraction de la lumière. A et B sont les deux sources de lumière, les interférences des ondes sont matérialisées en C, D, E, et F. Young presenta les résultats de cette expérience à la "Royal Society" de Londres en 1803.
Peinture, Villages, Anglais (langue), Caroline du Nord (États-Unis), Indiens d'Amérique, Seizième siècle, Aquarelles, North Carolina (États-Unis), Palissades, Villages communautaires
Le village algonquien de Pomeioc, North Carolina, aquarelle. Source : NARA - 535753. Commentaire de 1885 : Dessin du XVIème siècle du village algonquien de Pomeiock, près de la baie de Gibbs en Caroline du Nord, avec huttes et longues maisons protégées par une palissade. (A 16th-century sketch shows the Algonquian village of Pomeiock, near present-day Gibbs Creek, North Carolina, with huts and longhouses inside a protective palisade.) Légende en anglais de l'aquarelle : La ville de Pomeiock et la forme véritable de leurs maisons, couvertes et fermées par des nates ou des écorces d'arbres. Enceinte de petits pieux serrés plantés en guise de murs. (The towne of Pomeiock and true forme of their howses, couered and enclosed some w(i)th matts, and some w(i)th the barcks of trees. All compassed about w(i)th smale poles stock thick together in stedd of a wall.)
Cartographie des environs du Mount St. Helens, Septembre 1994. Noms de lieu en anglais.
Photographie, Cheminées, Marbre, Dix-neuvième siècle, Jaspe, Art anglais, Faïence de Wedgwood, Carrare (Italie), Foyers (cheminées), Halsey Ricardo (1854-1928)
Manteau de cheminée "vert pêche" ou "vert Dysart" de Wedgwood, 1882, dessiné par Halsey Ricardo (1854-1928) : jaspe et marbre de Carrare. De style néoclassique, médaillons, horloge et plaques réalisés à partir de modèles du XVIIIème siècle. Conservée au Birmingham Museum of Art.
Dessins et plans, Jeux d'extérieur, Anglais (langue), Numération, Marelles, Onze (le nombre), Marelle à cloche pied, Jeux méthématiques
Marelle anglaise à onze cases et "Plum pudding" comme ciel, in D. C. Beard, "The Outdoor Handy Book: For the Playground, Field, and Forest", 1900 : "Hopscotch court", p. 356, fig. 291.
Dessins et plans, Miroirs, Caricatures et dessins humoristiques, Anglais (langue), Droits de l'homme, Marianne (allégorie), George Orwell (1903-1950), Méduse (mythologie), Vie privée
15 mai 2015 : "Que vous ayez quelque chose à cacher ou pas, cette loi va nous enlever la possibilité d’une vie privée sur le net et faire reculer notre société comme jamais auparavant." Traduction de la légende anglaise : La guerre, c'est la paix. La liberté, c'est l'esclavage. L'ignorance c'est la force. George Orwell, Big Brother, 1984.
Moulin à vent dans le Kent (Meopham), en Angleterre, constuit par James Killick en 1819-21. Non légendé.
Fables, Meuniers, Peinture, Fables grecques, Dix-neuvième siècle, Peintres anglais, Ésope (0620?-0560? av. J.-C.), Ânes, Fables latines médiévales et modernes, Fils-pères
Les scènes de la fable d'Ésope, plus connue sous le titre "Le meunier, son fils et l'âne" (La Fontaine) se déroule comme une bande dessinée dans le sens des aiguilles d'une montre. Traduction du texte en anglais : "L'HOMME QUI NE POUVAIT PLAIRE À TOUS. Cet homme bon et son fils traversèrent la ville En essayant de plaire à tout le monde. A tour de rôle ils chevauchèrent seuls, D'abord le père, puis le fils, puis essayèrent à deux, puis finirent par transporter l'âne ; Et pendant tout ce temps, les gens ne cessèrent de se gausser de leurs efforts. On ne saurait plaire à tous ! Mieux vaut s'abstenir d'essayer." Walter Crane est un illustrateur anglais de comptines, du XIXème siècle.
Panneau en anglais d'interdiction de faire de l'auto-stop (No hitch-hiking).
Gravure, Géométrie, Dix-huitième siècle, Savants, Savants anglais, Perspective cavalière, Axonométrie, Fortifications
Source : Ephraim Chambers (1680–1740), "Cyclopaedia, or an Universal Dictionary of Arts and Sciences" 1728. La perspective cavalière est une manière de représenter en deux dimensions des objets en volume. Cette représentation ne présente pas de point de fuite : la taille des objets ne diminue pas lorsqu'ils s'éloignent. C'est une forme particulière de perspective axonométrique, où l'on situe les points grâce à leurs coordonnées dans un repère formé de trois axes. Dans cette perspective, deux des axes sont orthogonaux et ont un facteur de report de 1. Le troisième axe est incliné, en général de 30 ou 45° par rapport à l'horizontale, appelé « angle de fuite », et a un facteur de report inférieur à 1, en général. Cette perspective ne prétend pas donner l'illusion de ce qui peut être vu, mais simplement donner une information sur la notion de profondeur. Simple à réaliser, c'est une perspective naïve qui peut traduire un manque de « vision dans l'espace ». Trop souvent utilisée dans les dessins à main levée, elle est malgré tout à déconseiller par son ambiguïté de représentation : un objet éloigné d'un autre peut sembler être plutôt au-dessus ou au-dessous. Cette représentation était utilisée initialement pour la conception des fortifications militaires. Le « cavalier » est un promontoire de terre situé en arrière des fortifications et qui permet de voir par-dessus, et donc de voir les assaillants. La perspective cavalière était donc la vue que l'on avait du haut du cavalier (les anglais utilisent parfois le terme de « high view point », en français « point de vue de haut »). Certains avancent également que c'est la vue qu'a un cavalier du haut de son cheval.
Dessin de 12 pierres précieuses. Légende en anglais : GRENAT, AMÉTHYSTE, HÉLIOTROPE, AGATE, ÉMERAUDE, ONYX, CORNALINE, PÉRIDOT, BÉRYL, TOPAZE, RUBIS.
Peinture, Anglais (langue), Oxford (GB), University of Oxford -- Bibliothèques, Architecture -- Dessins et plans, Cartes anciennes, Tamise (GB. - cours d'eau), Villes -- Plans, Plans avant 1800, Bodleian library -- Manuscrits
Plan d'Oxford en 1588, fac simile de 1879 par William Smith (Digital Bodleian).
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang (1844-1912), illustré par Richard Doyle (1824-1883).
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang, illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
'Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew La]] illustré par Richard Doyle.
''Princess Nobody : a tale of fairy land'', 1884, par Andrew Lang illustré par Richard Doyle.
Illustration par Walter Crane de la comptine anglaise "Sing a sing of Sixpence" (1864) : ''The maid was in the garden hanging out the clothes'', la jeune fille était au jardin et suspendait le linge.
Dessin de coupe de dent montrant les différentes parties en coupe (anglais).
Dessin de tasse blanche pleine de café chaud. Légende en anglais : "Coffe, tea ?" = Thé ou café ?
Gravure, Anglais (langue), Walter Crane (1845-1915), Silhouettes, Arts décoratifs, Tutoriels, Dessin -- Étude et enseignement
Walter Crane, Line and Form, page 57 : trois manières de présenter un dessin.